Sans la CAF, bien sûr, nous ne serions rien. Dès le début, les responsables de la CAF ont cru en notre volonté d’agir pour impulser et développer de l’animation de la vie sociale sur le département. Depuis un quart de siècle – déjà ! – la CAF nous a soutenus, de convention en convention, avec des missions confiées, comme celle autour de la parentalité et en encourageant la création du Café Germaine, alors même que ce concept n’était pas encore à la mode.
Merci à l’État pour son soutien financier et la qualité des relations partenariales.